Un lien entre le monde musulman et les vikings

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Parce que non, un viking n'a pas de casque à cornes !

Le Jarl

Le chef Viking

lundi 8 juin 2015

Le siège de Paris .







 A la conquête de Paris .


Le siège de Paris par les Vikings a lieu entre 885 et 887.
C'est le quatrième siège de la future capitale. Commencé au lendemain du 25 Novembre 885 , il est interrompu début novembre 886 par l'arrivée de l'empereur Charles le Gros.
Ce dernier, après avoir promis aux Normands de leur verser un tribut de sept cents livres d'argent en mars de l'année suivante, les autorise à aller piller la Bourgogne.
 Le siège de Paris se termine en mai 887 par le paiement de la somme promise. Cet acte contribua à discréditer la dynastie carolingienne et à l'éclosion de ce qui deviendra la dynastie capétienne. Contexte historique Paris au IXe siècle.
 Depuis 799, date de leur première attaque sur l'empire carolingien, les Vikings essayent d'étendre leur emprise sur tout le continent, remontant les fleuves et établissant des bases à leur embouchure. Après une pause entre 870 et 880, la défaite des Danois en Angleterre à Ethandun et la paix avec Alfred le Grand, roi du Wessex, relancent leurs raids contre les Carolingiens. Ils ravagent les rives de la Somme dès 879, mais sont rejetés à la bataille de Saucourt-en-Vimeu par Louis III en 881.
L'année suivante ils attaquent la Lotharingie.
 L'empereur Charles le Gros les assiège dans leur camp fortifié d'Ascaloha (Elsloo ou Asselt, dans le Limbourg), mais, au moment d’attaquer, il préfère payer un tribut de 2 800 livres d’argent pour que les bandes de Godfred, Sigfred et Vurm quittent la région (juillet 882)4. Au printemps 883, ils pillent à nouveau la Flandre, puis, après avoir battu le roi Carloman sur la Somme, ils s'établissent à Amiens. Le 2 février 884, Carloman leur propose 12 000 livres d'argent pour qu'ils quittent cette ville, ce qu'ils font en octobre. Ils s'embarquent à Boulogne ; certains passent en Angleterre, d'autres hivernent à Louvain. Charles le Gros est devenu roi de Francie occidentale à la mort de Carloman, réalisant une dernière fois l'unité de l'empire d'Occident. Il reçoit à Ponthion les serments de ses nouveaux sujets, et ordonne une expédition conjointe des Francs de Neustrie et de Lotharingie contre les Vikings de Louvain, qui échoue. Les Danois décident une grande expédition contre la Francie occidentale, et choisissent Rouen comme lieu de concentration. La ville est prise le 5 juillet5. Ceux de Louvain s'y rendent par voie terrestre ou par mer. Ils sont renforcés par une bande venue d'Angleterre, et forment une redoutable force, estimée par Abbon à 30 à 40 000 hommes montés sur 700 navires, chiffre très discutable. Le siège Les barques des Normands, gravure pour l'Histoire de France de François Guizot, par Alphonse-Marie-Adolphe de Neuville, 1883. Article détaillé : Plans de Paris. Le siège de Paris est relaté par les poèmes du moine Abbon de Saint-Germain-des-Prés. Ce dernier est connu pour ses récits qui glorifient les héros francs. Ainsi l'historicité du siège qui va suivre est celle du moine et non la véritable. Mais cette version imaginaire du siège n'est peut-être pas due qu'au moine Abbon : en effet, les lignes qui suivront mentionnent la présence d'un trébuchet, arme de siège n'apparaissant qu'au XIIe siècle. De même, l'utilisation d'huile bouillante était extrêmement rare à cette époque. Alors que savons-nous du siège ? Pas grand-chose. Les Vikings sont arrivés avec l'intention de piller la ville. S'ensuit deux ans de sièges relativement lucratifs pour les assaillants, et enfin une forte rançon aux envahisseurs. Le siège changera aussi la dynastie carolingienne et dynastie capétienne. Tout comme les sièges précédents, les Vikings ne veulent pas s'emparer de la capitale franque. ce qu'ils convoitent, ce sont les richesses de Paris. De Rouen, la flotte remonte la Seine jusqu’à Pont-de-l'Arche où elle est arrêtée par le pont fortifié construit par Charles le Chauve. Les Normands (les hommes du Nord) s'installent à l’ouest du pont au lieu qui deviendra « Les Dans » puis Les Damps7. Là ils sont attaqués par les forces du duc du Maine, Ragenold, formées de soldats de Neustrie et de Bourgogne. Ragenold est tué dans le combat et ses hommes quittent les lieux, sans que l'on en sache plus sur le combat. La flotte continue de remonter le fleuve et force le passage au fort de Pitres, près du confluent de l'Andelle. Après que le comte Aleran a évacué la forteresse de Pontoise à son avance, la Grande Armée se présente devant Paris le 24 novembre 8856. Le lendemain, le chef viking Siegfried (Sigfredhr) demande à parler à la plus haute autorité de la cité. Il est reçu par l’évêque Gozlin. Siegfried demande à ce que les Parisiens laissent passer la flotte plus en amont, en échange de quoi, la cité ne sera pas attaquée. Gozlin refuse la proposition de l'ambassadeur viking.
Les Vikings lancent leur premier assaut le 26 novembre 885 contre le Grand Châtelet, qui n'est alors qu'une tour de pierre inachevée, qui ferme l'entrée du Grand Pont sur la rive droite.
Eudes, comte de Paris et l’évêque Gozlin défendent fermement la ville. Les Francs peuvent compter sur un dispositif défensif efficace, à savoir de ponts munis d'échauguettes et le tout, couvert par une tour, dont le rayon d'action des archers et des jets de projectiles rend toute progression impossible. L'opération échoue. Les Francs renforcent la tour à la faveur de la nuit,
 puis les Vikings recommencent leur assaut les 27 et 28. Les combats sont horribles et cruels. Le Grand Châtelet subit assauts sur assauts, sans succès.
 Les Danois essayent alors de détruire le mur adjacent à l'aide d'une sape, mais ils sont inondés d'huile bouillante, de cire et de poix.
Trois cents des leurs sont tués, ce qui les oblige à changer de tactique. Après deux jours de combats, ils décident de mettre le siège devant la ville, sans pouvoir établir un blocus complet.
Depuis la moitié du IXe siècle, les Parisiens ont dû faire face à plusieurs attaques des Vikings, en 845, 856, 857, 866, et 876. Ceux-ci n’hésitent pas à brûler la cité, comme en 856.
Cette fois-ci, devant une ville fortifiée  et la présence de deux ponts qui barrent le fleuve, les Normands doivent adopter une stratégie différente. Ils établissent un camp retranché autour de Saint-Germain-le-Rond et ravagent le pays environnant pour assurer leur ravitaillement4. Durant deux mois, ils construisent divers engins de siège. Abbon note la construction de trois béliers, de catapultes, ainsi que de chats et de mantelets. Les Francs, de leur côté, s'équipent d'un mangonneau ou d'un trébuchet.



Paris en l 'an 800 .




 L'assaut général 

 Le 31 janvier 886, les Vikings divisés en trois groupes lancent un assaut général contre la tour et le pont rive droite, à la fois par la terre et par le fleuve, sans parvenir à briser la résistance des Francs. L'assaut est renouvelé le 1er février : les Vikings tentent de combler les fossés de la tour ; le lendemain ils avancent avec leurs trois béliers, mais le tir nourri des mangonneaux ou des trébuchets francs ne leur permet pas de faire approcher les béliers.
 Ils essaient alors d'incendier le pont en lançant des brûlots, mais la plupart s'arrêtent sur les piles en pierre, et la population parisienne, invoquant les reliques de saint Germain, parvient à éteindre le feu et à s'emparer des navires.
 Le 3 février, les Normands se retirent dans leurs camps avec leurs engins de siège, abandonnant les trois béliers aux Parisiens. Siegfried se retire alors momentanément avec ses troupes pour aller dévaster l'est de la Francie, du côté de Reims, comme en témoignent les lettres contemporaines de l'archevêque Foulques.
Le 6 février 886, les Normands parviennent à s'emparer du petit châtelet, qui défend le Petit-Pont, sur la rive gauche de la Seine, à la faveur d'une crue de la Seine qui l'a isolé de l'Île de la Cité en emportant le Petit-Pont ; ils l'incendient, et, pensant être rachetés par une forte rançon, ses défenseurs se rendent après avoir libéré leurs faucons, mais les douze hommes sont massacrés ainsi qu'une partie des habitants.
 Après cet épisode le siège continue. Le 16 février suivant, une partie des Normands attaque Chartres sans succès ; ils sont aussi mis en échec devant Le Mans, mais prennent et pillent Évreux.
Au mois de mars 886, appelé par Gozlin par le truchement du comte de Boulogne, Erkenger, le comte Henri de Franconie échoue dans sa tentative pour secourir Paris et échappe au massacre. Après son départ, les Normands s'établissent sur la rive gauche de la Seine, autour de Saint-Germain-des-Prés. Eudes et Gozlin entament des négociations avec le chef Siegfried lui proposant 60 livres d'argent contre sa retraite.
Payé, Siegfried entraîne sa troupe à la conquête facile de Bayeux mais nombre de soldats - dont il n'est par ailleurs pas le chef - n'ont pas profité de ce tribut et refusent de le suivre. Ils persistent dans leurs attaques mais sont repoussés.
 L'évêque Gozlin meurt le 16 avril, victime de l'épidémie qui sévit dans la cité. Le 12 mai, après la mort de Hugues l’Abbé à Orléans les assiégés perdent l'espoir de son renfort. Après la saint Germain (28 mai), le comte Eudes quitte secrètement la ville pour chercher de l'aide auprès de l'empereur. L'abbé de Saint-Denis, Ebles, défend efficacement Paris contre les attaques normandes et assure son ravitaillement en son absence. Le retour d'Eudes ne se fait pas sans difficulté, et il doit forcer les lignes des assiégeants pour rentrer dans la ville, selon les récits francs.


 L'arrivée de l'empereur 

 Le 30 juillet 886, l'empereur Charles le Gros, de retour d'Italie, est à Metz où il décide de marcher contre les Normands de Paris ; il avance lentement, ralenti par la pluie et les inondations. Il est à Attigny le 16 août, le 22 à Servais près de Laon ; arrivé à Quierzy, il envoie le comte Henri de Franconie en reconnaissance.
 Celui-ci est tué dans une embuscade devant Paris le 28 août ; plus tard, avant l'arrivée des troupes impériales, les Normands tentent une nouvelle offensive contre la ville. Ils réussissent à rentrer dans la cité car les murs ne tiennent plus.
 Par cet effet de surprise, ils parviennent à piller les différents édifices religieux, et exterminent quiconque ose se dresser devant eux. Cependant ils doivent ressortir afin de ne pas être pris au piège au retour de l'armée franque.
 Le gros des troupes franques arrive devant Paris au mois de septembre. L'empereur n’ose pas affronter les Vikings et négocie avec eux quand il apprend le retour de Siegfried et de sa bande. Siegfried menace de mettre le feu dans tout Paris si les Vikings ne sont pas payés.
Début novembre 887, l'empereur traite avec les Normands assiégeant Paris et leur promet payer un tribut de 700 livres d’argent au mois de mars prochain comme prix de leur retraite définitive.
 Il les autorise à aller piller la Bourgogne en amont de Paris durant l'hiver, cette région étant peut-être en révolte contre lui.
 Le 6 ou le 7 novembre, Charles le Gros quitte Paris pour Soissons, où il distribue des bénéfices. Il est suivi par Siegfried et ses hommes qui dévastent l'Abbaye Saint-Médard de Soissons après le départ de l'empereur Charles vers l'Alsace.
Siegfried retourne sur la Seine au printemps 887, puis repart vers la Frise à l'automne où il meurt. Les Normands de Paris doivent contourner Paris et ses ponts en tirant leurs bateaux sur la terre ferme jusqu'à la Marne, les Parisiens leur refusant le droit de passage qui n'est pas prévu par le traité.
 Ils remontent la Seine, puis l'Yonne. Ils attaquent Melun puis le 30 novembre 886, ils mettent le siège devant Sens, qui résiste ; comme à Paris, ils ravagent le pays environnant (l'Abbaye Sainte-Colombe de Saint-Denis-lès-Sens est cependant épargnée cette fois).
Ils pillent les abbayes de Saint-Germain d'Auxerre, Bèze et Flavigny où ils séjournent du 11 au 25 janvier 8874.
Au mois de mai, comme convenu, ils retournent à Paris ; ils passent le pont sans opposition et s'installent dans leur ancien campement de Saint-Germain-des-Prés. Ils reçoivent leur tribut de 700 livres, somme que le nouvel évêque Anschéric est allé chercher auprès de l'empereur à Kirchen, en Alémanie ; mais au lieu de redescendre le fleuve, ils tentent de repartir en amont et de passer les ponts par surprise.
 Après une altercation, ils obtiennent des Parisiens le droit de passage, à condition qu'ils ne s'aventurent pas sur la Marne. Ils avancent en direction de Sens, puis font demi-tour et à l'automne remontent la Marne jusqu'à Chessy, près de Lagny, où ils prennent leurs quartiers d'hiver ; à l'annonce de la rupture du traité et du massacre de vingt chrétiens par les Vikings, les Parisiens exécutent une poignée de Normands qui se trouvent dans la ville, à l'exception de ceux protégés par l'évêque Anschéric, probablement des otages.


 Les hommes


  Le récit d'Abbon sert à grandir le personnage d'Eudes, mais il n'en oublie pas pour autant d'autres qui participent à l'affrontement. Notons, du côté viking, le nom de Siegfried, qui devait en plus d'être chef de cette armée une sorte d'ambassadeur sachant maîtriser le latin afin de pouvoir parlementer avec les chrétiens. Abbon est plus prolixe en ce qui concerne le camp chrétien. Nous avons donc le comte Eudes, fils de Robert le Fort, et futur roi de la Francie occidentale ; les comtes Régnier, Érilang et Utton ; Gauzlin, l'évêque de Paris ; l'abbé Ebles de Saint-Denis, neveu de Gauzlin, le fils de sa sœur Bilchilde. Abbon nous donne également le nom de ces « douze combattants héroïques de la tour » prise le 6 février : Ermenfrois, Hervé, Herland, Ouacre, Hervi, Arnoud, Seuil, Jobert, Gui, Hardre, Aimard et Gossouin.



 Conséquences


  La réputation de Charles le Gros est gravement mise à mal par son attitude envers les Vikings. Dès le mois de décembre 887, malade, il est déposé par les Grands et remplacé par Arnulf de Carinthie, élu le roi de Francie orientale.
 C'est la fin de l'empire carolingien. Eudes, révélé par sa résistance pendant le siège, est élu pour sa part roi de Francie occidentale en 888, au détriment du carolingien Charles le Simple, qui lui succède tout de même à sa mort en 898.
 Paris, ville d'importance mineure sous les Carolingiens, affirme sa position stratégique au centre de la Francie occidentale. Après une solide résistance de Paris, les Normands repartent néanmoins victorieux : une partie de la ville est pillée entre 886 et 887.
De plus, les pillards lèvent le siège suite à un énorme tribut. Les attaques en région parisienne sont moins fréquentes, même si les monastères le long de la Seine sont pillés ici et là. Les raids danois en Francie occidentale se font moins fréquents après le siège.
Battus près de Chartres en 911, les Normands s'installent sous leur chef Rollon dans la basse vallée de la Seine, qui devient le duché de Normandie ; convertis au christianisme, ils deviennent vassaux des Francs. Quand à Siegfried et à ses hommes, ceux-ci descendent plus au sud pour continuer les pillages. Quelques années plus tard, le puissant chef viking meurt au combat durant la bataille de Louvain en 891.



Reconstitution du pont de l’Arche: pont fortifié sur la Seine et l’Eure.




carte des invasions viking en France

 sources wikipedia .

samedi 18 avril 2015

La colonisation des nouveaux territoires

 

 

 



 Nous savions déjà  que les femmes prenaient une grande part aux combats (  voir l'article sur les femmes combattantes ici) .

Lors de leur implantation dans les territoires conquis lors de raids, c'est toute une population qui se déplaçaient  en drakkar , femmes , hommes, enfants, animaux .

Cet article explique le rôle de la femme lors de la colonisation de nouveaux territoires .

"Une étude de l'ADN scandinave a révélé l'importance des femmes dans l'assujettissement Scandinave des Iles Britanniques au cours du Moyen Âge."

 Les scientifiques ont trouvé que les hommes Viking amenaient avec eux un nombre significatif de femmes dans leurs bateaux lorsqu'ils naviguaient vers des lieux comme l'Ecosse Continentale, Shetland, Orkney et l'Islande.
A l'heure actuelle nous savons que l'image du viking violent et sanguinaire n'est plus crédité , son but premier étant de chercher de nouveaux territoires pour subvenir au besoin de son clan  , de trouver des terres cultivables et plus clémentes (   la vie des vikings )

Les chercheurs qui ont analysé le matériel génétique, de l'ADN mitochondrial hérité de la mère et extrait de 80 squelettes Vikings en Norvège, ont trouvé que les femmes Nordiques avaient joué un rôle central dans les implantations Viking en Grande-Bretagne et dans d'autres parties de l'Atlantique Nord.

Jusqu'à récemment, on pensait que c'était principalement les hommes qui prenaient la mer depuis la Norvège, le Danemark et la Suède, pour mener des raids sur des villages côtiers éloignés.

Mais les études, qui comprennent la reconstruction de 45 séquence d'ADN mitochondrial, montrent l'importance du lignage de la femme Viking dans l'expansion du peuple Nordique à travers les océans du nord.

D'après la professeur Erika Hagelberg, de l'université d'Oslo,
 "il semble qu'un nombre significatif de femmes furent impliquées dans les implantations dans de petites îles, ce qui contredit l'idée que les Vikings menaient des raids pour piller et violer. Il est vrai que les Vikings ont ramené des femmes des endroits où ils ont débarqué, mais l'étude ADN ainsi qu'une étude Islandaise, indiquent que les femmes Nordiques étaient impliquées dans le processus de colonisation. Cela contredit aussi l'idée que les Vikings menaient des raids à cause d'une pénurie de femmes chez eux."


L'étude compare l'ancien ADN mitochondrial des squelettes Viking, datant d'environ 1000 ans, et l'ADN mitochondrial de personnes vivant aujourd'hui en Norvège, dans les Îles Britanniques, en Islande et dans d'autres parties de l'Europe de l'ouest.

 Cela nous donne une image de la façon dont le lignage maternel Nordique s'est répandu dans cette partie de l'Europe du Nord.
Les femmes ont ainsi joué un rôle aussi important que les hommes, rapporte le professeur Jan Bill, expert Viking à l'Université d'Oslo: "Les hommes aussi bien que les femmes ont pris part à la colonisation de l'Atlantique Nord".
Il admet que les Vikings étaient brutaux, mais il ajoute: "nous savons qu'ils transportaient des bovins, ovins et autres animaux d'élevage, aussi, pourquoi ne pas prendre les enfants ? Je pense qu'il faut y voir le déplacement de groupes familiaux plutôt que juste des hommes et des femmes..."


Source:


samedi 11 avril 2015

Des actrices francaises et une guest star canadienne .






La princesse Gisla qui apparait dans la saison 3 ,   est interprétée par Morgane Polanski ,
 la fille du cinéaste Roman Polanski et de la comédienne Emmanuelle Seigner .
Née le 20 janvier 1993 a Paris .
 Dans la troisième saison de Vikings, elle campe l'élégante princesse Gisla, fille de l'Empereur Charles de France.
Le rôle de ce dernier sera tenu par Lothaire Bluteau, connu pour avoir joué dans Les Tudors.





Gaia weiss est née a Paris le 30 Aout 1991 ,  d 'origine polonaise , elle commence sa carrière comme danseuse de ballet .
 L 'actrice grandit à Londres et commence à apprendre le théâtre dès ses 7 ans. Une fois revenue à Paris, elle entre au cours Florent où elle continue l'apprentissage de la comédie, mais toujours en anglais. C'est pour payer ses études qu'elle devient mannequin.
En 2014 nous l'avons aperçu dans "  La légende d'Hercule " ou elle interprétais Hebe.






Quand au vagabon qui apparait le temps de quelques épisodes est interprété par Kevin Durand ,  un acteur canadien né le 14 janvier 1974 au Canada.
sa filmographie est impressionnante  ( Austin powers , X-mens origins , Real steel , résident evil , Noé )  ainsi que ses diverses apparitions dans des série (  Au delà du réel , Stargate , Les experts miami , Lost )









dimanche 5 avril 2015

Un lien entre le monde musulman et les vikings

Grâce au bijou retrouvé dans une tombe viking, des chercheurs ont établi que des contacts auraient eu lieu dès le 9e siècle avec la civilisation islamique.

Pourquoi une femme viking a-t-elle été enterrée au 9e siècle en Suède avec un anneau portant l'inscription "pour Allah" ? C'est la question que se pose le "Washington Post". Le quotidien américain dévoile mercredi 18 mars une étude de la revue Scanning, réalisée par une équipe de chercheurs de l'université de Stockholm, qui pourrait amener à une modification de nos connaissances en histoire médiévale, et plus précisément concernant les relations entre le monde musulman et les vikings.



L'anneau en argent avait été découvert par un archéologue au 19e siècle dans la tombe d'une femme viking à Birka, en Suède, et daterait du 9e siècle après J-C. Il porte l'inscription en écriture koufi "il-la-lah", qui signifie "pour Allah". La façon dont cette femme viking se l'est procuré reste inconnue. Ce bijou pourrait permettre d'établir des liens entre la civilisation viking et le califat abbasside qui dominait le Maghreb et le Moyen-Orient de 750 à 1258. Il s'agit du seul objet daté retrouvé en Scandinavie capable de relier les deux civilisations dès le 9e siècle.

Une bague échangée avec un commerçant arabe ?

Le site ScienceNews.org  rapporte que jusqu'à présent, les scientifiques pensaient qu'il s'agissait d'une améthyste. En fait, passée au microscope électronique, la monture révèle une composition en verre coloré, un matériau exotique pour les scandinaves. Mais les orfèvres arabes étaient habitués à utiliser ce type de matériaux. En outre, la bague ne présente pas de signes d'usure. Ce qui suggère qu'elle aurait eu très peu de propriétaires entre son créateur et la femme décédée. Cette dernière aurait donc pu l'échanger avec un commerçant arabe.

Les Vikings étaient très intéressés par l'argent, mais pas par l'or", explique l'historien Farhad Hussain au 'National World', le quotidien d'Abou Dhabi. "C'était même une marque de distinction pour les Scandinaves."

Les Vikings sont connus pour être de grands voyageurs. De longues traversées en mer jusqu'aux Amériques et à l'Est datant du 11e siècle sont rapportées dans les récits de l'époque. Des contacts fréquents, principalement commerciaux avaient déjà été établis pour cette période. Au regard de cette découverte, ils sont susceptibles d'avoir atteint Constantinople et même Bagdad deux siècles plus tôt...




Source

samedi 4 avril 2015

Bjorn se dévoile



Alexander Ludwig, né le 7 mai 1992 à Vancouver, est un acteur canadien
 

À neuf ans, il obtient un rôle en tant que caméo  dans la campagne mondiale de publicité pour Harry Potter et participe pour la première fois au téléfilm dramadique Air Bud 3 même si son nom n'apparaît pas sur le générique.
 Dans son pays natal, il prête la voix d'un personnage dans un film d'animation et tourne trois autres films entièrement inédits en France.
C'est en 2007 qu'il se montre tout au long du film Les portes du temps  où il tient un rôle principal Will Stanton et, deux ans plus tard, il est un jeune extraterrestre dans un remake du même titre La montagne ensorcelée  .
En 2012, il décroche le rôle de Cato dans Hunger Games  .
En 2013, il apparaît dans les films Copains pour toujours 2 et du sang et des larmes .
A partir de 2014, il interprète la version adulte de Bjorn dans la seconde saison de la série Vikings. Il reprendra son rôle dans la troisième saison en 2015.
En 2015, il apparaîtra dans les films Final Girl, Go With Me et The Final Girls.
Son premier single "Liv It Up (Teenage Wasteland)" est sorti le 1er Mars 2012.